Pour son troisième concert de l’année, l’association MusiKa vous convie le 21 mars 2022, au Bâtiment des Forces Motrices.

Le violon lumineux de Maxim Vengerov

servira des oeuvres mythiques,

en un vibrant hommage à la liberté.

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Nous avons déjà eu le plaisir de vous présenter, le 15 novembre dernier, l’orchestre de chambre “Cameristi della Scala”, sous la direction du chef d’orchestre Wilson Hermanto. Cette prestigieuse formation sera de retour le 21 mars prochain au Bâtiment des Forces Motrices de Genève. Elle collaborera, pour la première fois, avec des jeunes musiciens genevois – leur offrant ainsi une occasion unique de travailler au plus haut niveau –  et accompagnera l’un des plus grands violonistes de notre époque :

Maxim Vengerov

Nous assisterons à un concert rare, sur le thème de la liberté, qui revêt aujourd’hui une importance toute particulière, alors que, non loin de nos frontières, la souveraineté d’une nation se trouve bafouée, et que par contrecoup, le travail des artistes sera muselé.

Au programme de la soirée :

  1. L’Ouverture de Nabucco de Giuseppe Verdi, inspiré de Nabuchodonosor et présenté en 1842 à la Scala de Milan, mettant en scène l’esclavage des Hébreux à Babylone. Les Milanais, alors sous occupation autrichienne, s’approprièrent le rêve de liberté de ce peuple dominé. Depuis lors, le Nabucco est devenu la musique emblématique de la lutte contre l’oppression.
  2. Le concerto n° 1 pour violon, pièce majeure de Dimitri Chostakovich, composé entre 1946 et 1947, dans un climat politique agité, sous le joug de Staline. Très surveillé, le compositeur dut attendre sept ans pour la publier. Cette œuvre exprime en musique la désillusion de l’espoir volé, le fléau des persécutions et le carcan de la censure. L’interprétation de Vengerov de cette pièce profondément personnelle, et émotionnelle, exprimant le désespoir du compositeur, a servi de référence parmi les passionnés de musique.
  3. Enfin, la Symphonie n° 9, dite “du Nouveau Monde”, d’Antonin Dvorak, écrite en 1893 aux Etats-Unis, où il occupa pendant quatre ans la fonction de directeur du conservatoire de New York. Le compositeur trouva l’inspiration de cette oeuvre immémoriale à travers les vastes espaces, l’énergie des grandes villes, et l’industrialisation galopante de ce pays, pour lui autant de symboles de la liberté de découvrir et d’entreprendre.

Ne manquez pas cette occasion de redécouvrir ces pièces remarquables. Car, si elles nous sont évidemment familières, nous ignorons parfois ce qu’il fallut d’audace, d’engagement personnel et de courage à ces génies de la musique, pour les graver dans l’histoire du monde.

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